Jon Prosser, le célèbre leaker, a déjà découvert quelques éléments du nouveau firmware de Google. Il le révèle dans une vidéo sur YouTube. Non seulement il confirme les mises à jour visuelles, mais selon M. Prosser, de nouvelles fonctionnalités sont également prévues.

Il est presque certain qu’Android va modifier son centre de notifications. Les notifications seraient mieux regroupées, avec l’ajout du nombre de notifications par application. Une « pilule » sur l’écran de verrouillage devrait rapidement te donner un aperçu clair des alertes que tu as manquées. L’offre de widgets a également été mise à jour, avec une nouvelle horloge et davantage d’options météo.

La présentation officielle à l’I/O 2021 pourrait révéler l’image globale autour du rafraîchissement visuel d’Android 12. Du côté d’iOS, nous verrons des boutons et des widgets plus arrondis, qui auront un aspect plus lisse. Il semble fortement que Google cherche déjà à donner à sa version Android « nue » (sur laquelle les fabricants construisent avec leurs propres launchers) un meilleur look par défaut.

Il s’agira d’attendre de voir ce que Google va révéler lors de son flux I/O. Plus tôt, il a été annoncé que le géant technologique allait proposer un design très audacieux pour son Pixel 6. À part cela, ce serait aussi le moment idéal pour Google d’habiller Android d’un look moderne après toutes ces années.

Longtemps avant d’être extrait des mines, le premier fer forgé réalisé par l’être humain a utilisé du métal issu des météorites.

Les plus anciens objets en fer, jamais découverts, remontent à plus de 5 000 ans, à l’époque pharaonique égyptienne. Ils ont été retrouvés par des archéologues britanniques, en 1911, dans le village d’El-Gerzeh, en Basse Egypte.

Actuellement conservés au Musée Petrie de l’University College de Londres, ces objets viennent de subir des analyses très poussées. Les résultats révèlent que le fer utilisé n’est pas d’origine terrestre, mais proviendrai de météoritique. C’est la composition de l’alliage métallique qui révèle cela, la forte teneur en nickel, en phosphore, en cobalt et en germanium, composants quasiment absents du fer terrestre.

D’autres analyses révèlent également que ce métal a été chauffé et martelé à plusieurs reprises, jusqu’à l’obtention de la forme recherchée, ce qui témoigne d’une maitrise avancée de la métallurgie, même à l’époque, alors que les métaux usuellement utilisés étaient le cuivre, nettement plus facile à travailler en raison de sa moins grande dureté.