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Santé

Est-il possible de passer une meilleure nuit de sommeil après un orgasme ? De nouvelles preuves apparaissent

Est-il possible de passer une meilleure nuit de sommeil après un orgasme ? De nouvelles preuves apparaissent


Une bonne nuit de sommeil peut être affectée par les orgasmes, et vice versa.
Si vous avez de la chance, les orgasmes peuvent être le résultat d’une activité sexuelle, qu’elle soit pratiquée seul ou avec un ou plusieurs partenaires (aucun jugement ici).

En plus de vous faire sentir mieux, l’orgasme peut également améliorer votre sommeil. Cependant, vous ne savez peut-être pas qu’un bon sommeil peut aussi vous aider à avoir un orgasme, même si vous le saviez déjà (alors qu’un mauvais sommeil peut faire le contraire).

Lorsque vous avez un orgasme, votre corps est dans un état de relaxation et de bonheur. Lorsqu’il est pratiqué seul ou avec un partenaire, « il procure un sentiment d’unité avec votre esprit, votre corps, votre esprit et votre âme », explique le Dr Angela Jones, gynécologue-obstétricienne en cabinet privé dans le New Jersey. « Vous avez deviné juste, votre sommeil sera meilleur lorsque ces choses seront en ordre ».
Certaines études ont montré que les orgasmes améliorent la qualité du sommeil.

Selon Michele Lastella, chercheur sur le sommeil et maître de conférences à la CQUniversity Adelaide en Australie, il peut être difficile de déterminer si les orgasmes aident les individus à dormir. Les études sur les orgasmes et le sommeil reposent en grande partie sur l’autodéclaration, ce qui laisse de côté une partie importante de la population, notamment les personnes qui s’identifient comme LGBTQ.

L’activité sexuelle qui implique un orgasme peut aider à dormir dans les quelques études qui ont tenté cette tâche », a déclaré Lastella à BuzzFeed News dans un courriel.

Lastella et ses collègues ont examiné les réponses à un sondage en ligne de 778 personnes, dont la majorité était hétérosexuelle et âgée de 20 ou 30 ans, dans une étude publiée dans Frontiers in Public Health en 2019. (plus de 90 pour cent ). Après un rapport sexuel, 68 % des hommes et 59 % des femmes ont déclaré avoir mieux dormi. Quel que soit le sexe, environ la moitié des participants ont déclaré qu’ils étaient capables de mieux dormir après un orgasme de masturbation.

Toutefois, 11 % des femmes et 4 % des hommes ont déclaré avoir eu des difficultés à s’endormir après avoir eu des rapports sexuels avec un partenaire, et ce, quel que soit le sexe. Lastella a déclaré que cela « peut être lié à l’expérience qu’ils ont avec eux-mêmes, ou avec leur conjoint », bien que son étude n’ait pas cherché à expliquer pourquoi c’est le cas.

Sara Flowers, vice-présidente de l’éducation et de la formation à la Planned Parenthood Federation of America, a déclaré à BuzzFeed News qu’aucune activité n’est « toujours une expérience agréable ou terrible pour tout le monde. »

« Après un orgasme, certaines personnes éprouvent un sentiment de bien-être, de sérénité, voire de somnolence ». Flower a souligné que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre les expériences orgasmiques des personnes de différentes identités de genre, orientations sexuelles, ethnies, capacités, et plus encore. Afin de déterminer si les orgasmes favorisent ou entravent votre sommeil, elle suggère de prêter attention à vos propres expériences et schémas.

En 1985, une courte étude publiée dans la revue Biological Psychiatry a révélé que les orgasmes, du moins ceux provoqués par la masturbation, n’avaient aucun effet sur le sommeil, qu’il soit favorable ou négatif.

Cinq hommes et cinq femmes ont subi des enregistrements polysomnographiques après une masturbation avec ou sans orgasme. Il s’agit de l’étalon-or de la recherche sur le sommeil, qui évalue les ondes cérébrales, les niveaux d’oxygène dans le sang, les rythmes cardiaque et respiratoire, les mouvements des yeux et des jambes.

Selon les chercheurs, la masturbation n’a aucune influence sur le sommeil, indépendamment de l’orgasme. Un groupe témoin a lu un contenu considéré comme impartial.
Quels sont les avantages possibles de l’orgasme pour une bonne nuit de sommeil ?

Avoir un orgasme libère diverses endorphines, dont beaucoup ont des fonctions liées au sommeil, ce qui améliore votre bien-être physique et émotionnel.

L’orgasme libère de l’ocytocine, connue sous le nom d' »hormone de l’amour », qui peut vous procurer une sensation de chaleur et de bien-être, a expliqué Mme Jones. Le lien entre la mère et l’enfant est renforcé par son rôle dans l’accouchement et l’allaitement. L’hormone du stress, le cortisol, est également réduite par la présence d’ocytocine dans notre sang.

Le matin est le moment où le taux de cortisol augmente, ce qui explique que vous soyez réveillé, selon Mme Jones. Un orgasme le soir peut contribuer à faire baisser votre taux de cortisol et vous aider à vous endormir plus facilement, car des quantités élevées de l’hormone du stress sont courantes en fin de journée.

L’ocytocine est libérée dans le cerveau lorsque vous faites du yoga, embrassez quelqu’un ou passez du temps avec vos animaux domestiques.

À l’approche de l’orgasme, votre corps est inondé de sérotonine, l' »hormone du bonheur », qui est responsable de l’euphorie qui s’ensuit, selon Jones. Les cycles veille-sommeil sont régulés par la sérotonine.

La mélatonine, principale hormone du sommeil, est produite par le cerveau la nuit et libérée tout au long de la journée. Des études montrent qu’un faible taux de sérotonine est associé à la tristesse et à l’insomnie. Selon le Dr Jones, il a été démontré que l’augmentation du taux de sérotonine peut améliorer l’humeur et le sommeil.

Des médicaments comme la fluoxétine (Prozac) et la sertraline (Zoloft) sont des ISRS, ou inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine, qui agissent en augmentant le taux de sérotonine dans le cerveau. N’oubliez pas que de nombreux ISRS ont pour effet indésirable de diminuer le désir sexuel ou la libido. Les personnes assignées à l’homme à la naissance sont plus susceptibles de produire l’hormone vasopressine, qui a pour fonction de réduire les niveaux de cortisol et d’améliorer la qualité du sommeil après un rapport sexuel, selon Jones.

En plus de la prolactine, l’orgasme crée une hormone qui favorise le sommeil, l’ocytocine. Bien que cette hormone soit surtout connue pour favoriser la production de lait chez les nouvelles mères, des recherches menées par Lastella montrent qu’elle est également liée à de meilleurs orgasmes et à un plus grand sentiment de satisfaction sexuelle.

Il a été démontré que la prolactine favorise le sommeil paradoxal (REM), qui facilite le traitement des nouveaux souvenirs et l’apprentissage des capacités pendant le sommeil. Selon une étude, la privation de sommeil peut également faire baisser le taux de prolactine.

Des échantillons de sang de 19 hommes et 19 femmes qui s’étaient masturbés ou avaient eu des rapports sexuels avec un pénis dans le vagin jusqu’à atteindre l’orgasme ont été étudiés dans le cadre d’une étude publiée en 2005 dans la revue Biological Psychology. Selon cette étude, on a observé une multiplication par cinq du taux de prolactine après l’orgasme, par rapport à la masturbation. Cela montre que les rapports sexuels avec un partenaire peuvent être plus agréables que la masturbation, du moins dans un environnement contrôlé. Bien sûr, cela dépend du partenaire.

Le fait de regarder un documentaire non sexy, seul ou avec un compagnon, a servi de condition de contrôle.
La réponse à cette question est oui.

De nombreux avantages pour la santé peuvent être retirés d’une bonne nuit de sommeil, ce qui, pour les adultes, implique de dormir sept à neuf heures par nuit et de rester endormi tout le temps. À long terme, dormir suffisamment peut améliorer votre santé mentale et émotionnelle, ainsi que réduire vos risques de développer des maladies comme le diabète de type 2 et les maladies cardiaques.

Une étude de 2015 publiée dans le Journal of Sexual Medicine a révélé que les femmes qui dormaient une heure de plus par nuit étaient 14 % plus susceptibles d’avoir une activité sexuelle avec leur partenaire. Pendant deux semaines, les chercheurs ont interrogé 171 femmes et ont découvert qu’une plus grande durée moyenne de sommeil était liée à une meilleure excitation génitale.

Les hommes et les femmes souffrant de troubles de l’érection et de dysfonctionnement sexuel ont été associés au manque de sommeil et à l’apnée obstructive du sommeil, un trouble qui provoque des obstructions répétées du flux d’air pendant le sommeil.

Selon une autre étude, même après avoir pris en compte d’autres causes de manque de sommeil, comme la dépression et les maladies chroniques, le manque de sommeil était lié à une diminution du plaisir sexuel chez les femmes ménopausées âgées de 50 à 79 ans. Un article dans Menopause basé sur cette recherche a été publié en 2017.

Un sommeil insuffisant fait des ravages sur le bien-être mental, tandis que la mélancolie et l’anxiété réduisent le désir de relations sexuelles.

En termes de fonction immunitaire, de santé cardiaque, de récepteurs de la douleur, de niveau de stress, de bien-être psychologique et de relations amoureuses, « plus de sommeil et plus de sexe peuvent tous deux avoir des conséquences favorables », ajoute Lastella. L’un des principaux défis de notre culture est que nous ne nous éteignons pas – nous sommes collés à nos gadgets électroniques, nous sommes attachés à nos courriels et à d’autres plateformes de médias sociaux qui retardent l’apparition du sommeil.
Comment améliorer la sexualité et le sommeil en même temps ?

La qualité de votre sommeil et celle de votre vie sexuelle peuvent toutes deux bénéficier d’activités qui vous aident à vous détendre et à apprécier le moment présent avant d’aller vous coucher.

N’oubliez pas que ce qui fonctionne pour une personne peut ne pas fonctionner pour une autre. Voici quelques suggestions pour obtenir une bonne nuit de repos :

La meilleure façon de se détendre avant de se coucher est de siroter un thé sans caféine, de suivre un cours de yoga doux, de méditer ou de faire trempette dans un bain chaud.
Avant d’aller au lit, évitez les stimulants comme la caféine, l’alcool et les cigarettes.
Mettez votre téléphone en mode « ne pas déranger » ou ne le laissez pas entrer dans la chambre.
Même le week-end, gardez un horaire de sommeil et de réveil cohérent, sans dépasser les 20 minutes de la journée précédente.
Les chats, en particulier, doivent être tenus à l’écart de la chambre à coucher.
Si vous le pouvez, essayez de dormir au moins sept à neuf heures par nuit.
Si vous le pouvez, ouvrez une fenêtre pour faire entrer de l’air frais dans votre chambre.
Vous pouvez également envisager de changer votre matelas pour un modèle plus adapté à votre corps.
Les diffuseurs d’huiles essentielles et les couvertures lestées peuvent vous aider à vous détendre et à mieux dormir la nuit si votre chambre reste sombre et paisible.
Asseyez-vous quelque part jusqu’à ce que le sommeil vienne à vous au milieu de la nuit, puis sortez du lit si vous ne vous êtes pas encore endormi.

Demander ce que l’on veut, essayer de nouvelles choses et « reconnaître que le sexe ne doit pas nécessairement être un sport d’équipe » sont quelques-uns des conseils que Jones donne pour améliorer sa vie sexuelle.

Flowers, de Planned Parenthood, a souligné que, que vous ayez ou non un partenaire, vous pouvez toujours expérimenter les jouets sexuels.

« Se sentir à l’aise avec son corps et sa sexualité peut être un premier pas vers l’acceptation du sexe et de votre sexualité. Prenez rendez-vous avec vous-même. Elle conseille aux femmes de porter des vêtements qui les font se sentir attirantes, confiantes et à l’aise avec leur corps. « Observez vos organes génitaux dans un miroir pour vous familiariser avec leur apparence. Faire une promenade à l’air frais ou prendre un bain chaud avec des bougies parfumées peut être bénéfique pour votre bien-être.

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Santé

Le régime ultramétaboliste ou manger stratégiquement

Le régime ultramétaboliste ou manger stratégiquement

Conçu par le Dr Hyman, le régime ultramétaboliste a pour principe de manger stratégiquement afin de conserver la forme et la santé, mais aussi pour maigrir.

Le régime ultramétaboliste conçu par le Dr Hyman se décompose en trois phases. La base de la méthode est de multiplier les repas, un toutes les trois heures, le dernier devant intervenir trois heures avant de se coucher.

La première phase, dite de préparation, dure une semaine. Elle consiste à éliminer de votre alimentation tous les aliments « non » sains.

La seconde phase dure 3 semaines et vise à éliminer les toxines accumulée par notre organisme. Cette phase prévoit l’abandon de certains aliments, notamment les plats cuisinés et certains produits contenant des substances réputées allergènes.

La méthode s’achève par une phase qui dure généralement deux mois qui a pour but de stabiliser les habitudes alimentaires et votre poids.

Pour ceux que cette méthode intéresse, le plus simple est d’acheter le livre de la méthode et de remplir les questionnaires afin de déterminer ce que la méthode vous apportera et ce qu’elle changer dans votre quotidien.

Changer le « comment » au lieu du « quoi »

Un régime visant à faire du poids s’axe toujours sur ce qu’il faut manger ou ne pas manger. Pourtant, en s’attaquant au « comment » on mange, il est également possible de perdre du poids.

Alors que les régimes privatifs sont souvent synonyme d’échec et d’effet yo-yo, certains nutritionnistes envisage d’aborder le problème de l’alimentation non pas du point de vue de « quoi » manger, mais plutôt de « comment » manger. C’est ainsi qu’ils ont constaté que notre hygiène de vie, c’est-à-dire notre manière de manger agit sur notre façon de stocker les aliments, respectivement de les éliminer et de perdre du poids.

Dans ce contexte, tout le monde sait ce qu’il est bon de manger ou pas, mais il est surtout important de prendre le temps de manger, de bien mâcher et de bien sentir le goût des choses. En effet, outre le plaisir de redécouvrir certaines saveurs, le fait de bien mâcher aidera grandement votre digestion, donc globalement tout le fonctionnement de votre organisme.

Pour réapprendre à mâcher, autant cibler des aliments qui nous font mâcher, comme une pomme entière, des fruits secs ou des crudités comme la carotte, le radis ou le fenouil. Ne pas trop cire les légumes pour les laisser un peu croquant vous aidera aussi à rééduquer votre mastication.

Recourir aux ultrasons

Vous avez envie de maigrir mais sans suivre un régime ou subit une intervention chirurgicale. Les ultrasons sont peut-être votre solution.

Traditionnellement, maigrir est synonymie de régime ou d’opération chirurgicale, pourtant il existe d’autres solutions, comme les ultrasons. Pour ce faire, il faut vous rendre dans des centres spécialisés, par exemple des salons d’esthétique Cellusonic.

L’esthéticienne passe simplement sur les zones à traiter un appareil qui envoie des ultrasons pour détruire les amas graisseux. Une fois que cette première partie est faite, par dépressologie, la graisse dissoute est drainée et évacuée par les voies naturelles.

Le traitement est totalement indolore et dure 30 minutes par séance, il faut compter plusieurs séances. Les premiers résultats visibles seront perceptibles dès la troisième ou quatrième séance. Les différentes séances sont espacées d’un mois.

L’avantage de cette méthode est qu’elle cible des zones précises : le ventre, la taille, les hanches, les bras, la poitrine, la culotte de cheval, etc… Plusieurs zones peuvent être traitées lors d’une même séance.

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Santé

Manger trop de pommes de terre avant une grossesse ne serait pas une bonne chose

Manger trop de pommes de terre avant une grossesse ne serait pas une bonne chose

Selon une étude américaine, cela augmente le risque de développer un diabète pendant sa grossesse.
Le diabète de la grossesse, ou diabète gestationnel, doit être surveillé et traité car il s’agit d’un risque pour la mère et l’enfant qu’elle porte. Il apparait vers la fin du 2ème trimestre chez la femme enceinte.

Alors que les pommes de terre sont l’un des aliments les plus mangés dans le monde, quel est son impact sur une grossesse ? C’est la question à laquelle une équipe de chercheurs américaine a voulu répondre. Le résultat de cette étude vient d’être publié.

C’est en raison de leur taux élevé en amidon que les pommes de terre peuvent avoir un effet néfaste sur le taux de sucre dans le sang. L’étude révèle que les femmes consommant plus de 5 portions par semaine voyaient le risque de développer un diabète pendant la grossesse augmenter de 50% par rapport aux femmes qui ne consomment qu’une portion par semaine. L’étude indique également que remplacer deux portions de pommes de terre par semaine par des légumes ou des céréales permet de diminuer ce même risque d’apparition d’un diabète gestationnel de 9 à 12%.

Selon les scientifiques, l’explication à cette découverte est que l’index glycémique élevé des pommes de terre provoque une hausse rapide du taux de sucre dans le sang. Ils soulignent que leur étude n’est qu’observationnelle et qu’elle ne sert donc qu’à établir un lien entre la pomme de terre et le diabète, Il faudrait d’autres études pour expliquer plus en détail les causes réelles.

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Santé

Manger en étant diabétique

Manger en étant diabétique

Pour les personnes souffrant de diabète, manger est un véritable casse-tête, une activité qui devient vite une corvée à force d’une surveillance fondamentale.

S’alimenter en étant diabétique n’est pas facile, un régime adapté est obligatoire. Dans la mesure où un régime strict n’est pas obligatoire, autant surveiller son alimentation afin que le problème ne se développe pas.

Pour se faire, il est important de contrôler l’apport en glycémie de vos aliments. Pour se faire, une alimentation régulière est une bonne chose, avec les trois repas marqués, l’échelonnement des repas maintient un bon équilibre de la glycémie. Il s’agit donc de prendre un vrai petit déjeuner, un déjeuner et un diner.

Il est bien évidement totalement déconseillé de consommer du sucre en tant que tel, par exemple, optez pour les édulcorants. Par contre, optez pour des légumes et fruits, surtout des légumineuses comme les lentilles qui diminuent la vitesse de passage du sucre dans le sang.

Les « trop » sont par ailleurs à éviter, c’est-à-dire le trop sucré (bonbons, confiture, pâtisseries), le trop salé (charcuterie, plat cuisiné, biscuits apéritifs), le trop gras (beurre, crème fraiche, viande), sans oublier l’alcool en général.

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